Je ne chronique pas les séries TV comme les films, mais certaines ayant autant, si ce n’est plus de qualités que beaucoup de long-métrages (et considérant le temps que je passe devant), voici un récap de toutes les séries que j’ai pu suivre, avec un petit avis très court.
Séries | Note | Nb Saisons | Avis succinct |
Friends | 20/20 | 10 | Définition. Culte : Friends |
Games of Thrones | 18/20 | 5 | Les 6 films (c’est ce que HBO communique) qui nous mèneront vers l’épilogue de la série au printemps prochain nous diront si Game Of Thrones est LA série le plus importante des années 2000. |
Le Bureau des legends | 18/20 | 4 | La meilleure série Française. Tout simplement. |
Les Sopranos | 18/20 | 6 | La définition du style HBO. Caractérisation parfaite des personnages, un storytelling inattaquable, et un James Gandolfini magnifique en mafieu depressif |
Six feet Under | 18/20 | 5 | La famille, la mort. Passionnant à suivre, jusqu’à cette conclusion qui vous arrache le cœur, le plus puissant final jamais offert aux fans d’une série. |
Breaking Bad | 17/20 | 6 | La transformation d’un simple prof de science en un redoutable baron de la drogue. Brillant dans sa mise en scène et de plus ne plus addictif. Un spin off (Better Call Saul) au niveau |
Mad Men | 17/20 | 7 | La classe. Un modèle de série « d’époque ». Beaucoup copiée, jamais égalée |
Pose | 17/20 | 1 | Exceptionnelle et respectueuse reconstition du voging, ce mouvement mené par la communauté Queer et Trans new yorkaise au début des années 90. Elle reprend l’imagerie du non-moins formidable documentaire Paris is Burning. C’est à la fois plein de bienveillance et lucide sur l’époque qu’elle traversait, les personnages sont attachants, l’effervescence des balls bien réel. Immanquable. Ryan Murphy est décidement plein de surprise. |
Sharp Objects | 17/20 | 1 | Mini-série sombre et mélacolique, thriller lent qui rappelle le ryhtme de True Detective, c’est aussi un écrin magnifique pour ses actrices, Amy Adams en tête |
The Affair | 17/20 | 4 | Sur un principe de narration fractionnée, l’histoire change de sens en fonction du point de vue de chaque personnage. C’est brillant, addictif, haletant et magistralement interprété, malgré une saison 3 plus faible, oubliant son concept. On attend la season final avec impatience |
The Americans | 17/20 | 6 | Haletant thriller sur un couple d’espion russe qui fonde une famille aux Etats-Unis et se font passer pour « vrais américains » pour le compte du KGB. Aucune baisse de rythme sur les 5 saisons et un final pleinement satisfaisant. Un must |
The Deuce | 17/20 | 2 | Brillamment construite, elle gagne encore en épaisseur en saison 2, NYC arrive à un tournant. Et Maggie Gyllenhaal, la classe incarnée. La plus intelligente des séries #metoo? Sûrement. |
The Handsmaid tale | 17/20 | 2 | La terrifiante dystopie est un must see, un angoissant thriller futuriste et féministe qui trouve un écho de plus en plus grand dans notre société. Glacial et d’une grande maitrise. |
The Leftover | 17/20 | 3 | Une des plus belles et intenses séries de ces dernières années, malgré une saison 2 un poil austère. Le mystique et l’humain s’affronte. Une musique inoubliable et un final déchirant et intime à la hauteur de la série. |
The Leftover | 17/20 | 3 | Une des plus belles et intenses séries de ces dernières années, malgré une saison 2 un poil austère. Le mystique et l’humain s’affronte. Une musique inoubliable et un final déchirant et intime à la hauteur de la série. |
The Wire (Sur écoute) | 17/20 | 5 | Plongée totalement immersive dans la criminalité de Baltimore. Gangster, flics, politiciens verreux, ripoux… Encore une fois chez HBO, des personnages forts au service d’une histoire d’une ambitieuse ampleur. |
Westworld | 17/20 | 2 | Une ambition visuelle et narrative folle, un univers qui se réinvente constemment, si ce n’est la complexité de son intrigue, une série d’une densité et d’une beauté exceptionnelle. Pour l’instant un pari plus que réussi. |
Big Little Lies | 17,5/20 | 1 | Réalisateur pop et élégant, Jean-Marc Vallée orchestre un whodunit éthéré d’une classe imparable, dirigeant l’un des castings féminins les plus glam de la TV US, au dessus duquel trône la Reine Kidman, dans une de ses performances les plus abouties (et c’est peu dire). Mais pourquoi un saison 2? (on me dit Meryl Streep, je dis ok) |
American Crime Story | 16/20 | 2 | Une première saison procéduriale presque parfaite sur OJ Simpson. Un seconde réussie mais vraiment perturbante sur l’esprit dérangé de l’assassin de Versace. Performance énorme de Sarah Paulson pour la S01, et fascinante de Darren Criss sur la 2 |
Better Call Saul | 16/20 | 2 | Et si ça finissait par être encore mieux que Breaking Bad? Bob Odenkirk rend attachant un personnage a priori détestable. Il va bien falloir que l’intrigue rejoigne BB, mais on ne veut plus que ça s’arrête. |
Boardwalk Empire | 16/20 | 5 | Épopée mafieuse ample et ambitieuse, première incursion réussie de Scorcese dans l’univers des séries (il aura moins de flair avec Vynil), Boardwalk Empire raconte les premières heures trouble de l’autre ville du vice, Atlantic City, en pleine prohibition. Le visage de la série est magistralement incarné par Steve Buscemi. |
Dark | 16/20 | 1 | Série allemande remarquable, un thriller SF sur plusieurs timeline, quasiment impossible à suivre sans l’aide du bouton pause et rewind, mais addictive à souhait |
Dear White People | 16/20 | 2 | Permet d’aller plus loin que le film dans l’analyse du conflit inter-racial aux USA, c’est fin et jamais manichéen. Sa narration se concentrant sur un personnage par épisode est habile et permet de confronter les points de vue. |
Downton Abbey | 16/20 | 6 | Qui eut cru qu’on se passionne pour leurs petites histoires de maîtres et de valets . Pourtant quand on commence, on ne peut pas s’arrêter. |
Engrenages | 16/20 | 6 | Série policière française dure et prenante, parfaitement documentée et très bien écrite. Ce que se fait de mieux en France dans le genre. Il y a un avant et un après Engrenages. |
Grey’s Anatomy | 16/20 | pfff | Malgré les années et les saisons, la musique, les intrigues, les cas médicaux font qu’on continue à suivre comme si ça faisait un peu parti de nous. |
How I Met your mother | 16/20 | 9 | Parce que it was Legend – wait for it – dary, parce que Robin, parce que cette fin était parfaitement mélancolique. |
Narcos | 16/20 | 3 | La série a brillement survécu à la mort d’Escobar pour se renouveller. C’est costaud dans la reconstiution, solide dans le récit, et très bien incarné. Un must Netflix. |
Sex Education | 16/20 | 1 | Teen comedy sociale d’une rare acuité sur l’adolescence. C’est drôle, juste, dur parfois, bref, anglais. |
Succession | 16/20 | 1 | Un Dynastie haut de gamme, cinglant et cynique. |
The Crown | 16/20 | 2 | Elegance, classe, faste et grand casting. La petite et la grande histoire se rencontrent. A voir si la série conserve ce niveau avec un casting entièrement renouvellé en Saison 2 |
The haunting of Hill House | 16/20 | 1 | Tout terrifiant qu’il soit #TheHauntingOfHillHouse est surtout un terrassant drama familial. Des airs de #sixfeetunder et ce n’est pas peu. |
The Knick | 16/20 | 2 | Plongée brutale dans la naissance de la médecine moderne dans le New York du début du 20ème siècle. La mise en scène de Soderbergh est scotchante les intrigues costaudes. |
The Marvelous miss Mrs Maisel | 16/20 | 2 | A la fois drôle, fin, construit, Miss Maisel est une franche réussite. L’émancipation de cette femme au foyer qui décide de se lancer dans le stand up dans les années 50 va vous rendre accroc, d’autant plus que le travail de reconstitution est remarquable. |
This is us | 16/20 | 3 | Le top de la feel good serie |
Transparent | 16/20 | 4 | Il faudra mesurer comment l’éviction de Jeffrey Tambor, son acteur principal, formidable dans le rôle de Maura, va peser sur l’esprit du final de la série. Car jusqu’ici, Transparent est d’une importance rare pour la représentation de la communautré trans à la télévision. |
Hippocrate | 16,5/20 | 1 | C’est l’adaptation en série du très réussi film Hippocrate et c’est formidable. Clinique et humain. Éclairant sur l’état des hôpitaux tout en assumant sa part de romanesque. Et Louise Bourgoin est grande. |
24 | 15/20 | 8 | Jack Bauer est immortel. Et 24 a révolutionné la façon de faire des séries. |
American Crime | 15/20 | 3 | Série anthologique qui pointe du doigts les maux qui rongent la société américaine. Le racisme dans la saison 1, le harcelement scolaire et l’homophobie dans la saison 2 et l’exploitation des réfugiés dans la 3. Puissant et jamais manichéen. Un rebond parfait pour Felicity Huffman après Desperate Housewives. |
Baron Noir | 15/20 | 2 | Excellente série politique française. Kad Merad est crédible en politicard véreux. |
Black Mirror | 15/20 | 4 | Des bijous d’anticipation, du plus classique au plus tordu, mais jamais rien de vraiment ennuyeux. Un must pour qui ne s’angoisse pas facilement |
Casual | 15/20 | 3 | Chronique sur l’ère du temps, cynique et parfois desespérante mais finalement attachante, comme cette fratrie disfonctionnelle |
Counterpart | 15/20 | 2 | Distopie surprenante (le monde se sépare en deux entitées identiques qui s’affrontent) et exigenante (pas facile de s’y repérer quand tout existe en double), Counterpart parvient quand même à accrocher par son univers consirationiste et la double interprétation de JK Simpson. |
Dix Pour Cent | 15/20 | 2 | Une série au concept brillant et original sur le star system franchouillard. Le cast fictionnel est aussi bon que les vedettes dans leur propre rôle. Un retour d’inspiration en saison 3 après un passage laborieux |
Hannibal | 15/20 | 3 | Adaptation très graphique des romans de Thomas Harris en guise de préquel au Silence des Agneaux. Gore et hypnotique. Succulent |
Homeland | 15/20 | 7 | Un constant souci de renouvellement pour une série qui a su rebondir. Le personnage de Carrie Mathison est toujours aussi fascinant. Dernière saison à venir |
How to get away with Murder | 15/20 | 5 | Whodonit malin et addictif, aux personnages forts et divers, le show parvient miraculeusement à se renouveller et à conserver tout son intérêt (malgré les incohérences du scénario). Viola Davis règne sur le show. |
Killing eve | 15/20 | 1 | Un affriolant jeu du chat et de la souris entre les services secrets britaniques et la Russie, servi pas des actrices charismatiques. Ambigue et malaisant à souhait. |
Luther | 15/20 | 3 | Brut et haletant, la qualité anglaise. On y découvre Ruth Wilson (The Affair) et le charisme de Idriss Elba |
Sherlock | 15/20 | 4 | Classieux, smart, fun, ludique. La parfaite illustration de la modernisation d’un classique |
The First | 15/20 | 1 | Amusant parallèle avec le First Man de Donzelle, avec qui il partage la même poésie, la même force ineluctable. Dans une mise en scène léchée, The First mêle drame famillial et conquête spatial. Malheureusement annulée. |
The Honourable Woman | 15/20 | 1 | Une seule saison prenante et bien executée sur un sujet dense et complexe, le conflit isrealo-palestienien et les interets économiques dans la région. Maggie Gyllenhaal porte le show. |
True Detective | 15/20 | 2 | Grande première saison, austère, glauque. Saison 2 ereintée de toute part, pas vu. La saison 3 sur plusieurs temporalités s’annonce prometteuse |
When We rise | 15/20 | 1 | L’histoire du combat LGBT sur 3 périodes. La naissance du mouvement à San Francisco et les premières Gay Pride. L’apparition du SIDA et ses conséquences tragiques. La poursuite de la lutte commnuautaire pour la reconnaissance de la maladie jusqu’au mariage pour tous. |
American Horror Story | 14/20 | 8 | Inégal selon les saisons, le show a beaucoup perdu avec le départ de la taulière Jessica Lange, même si elle avait tendance à jouer toujours le même personnage. Des univers toujours très marqués et une volonté de renouvellement. Première série anthologique moderne qui voit les mêmes acteurs interpréter des personnages différents chaque saison. J’ai arrêté Cult très vite, mais Apocalypse m’a réconcilié avec AHS |
Atypical | 14/20 | 1 | Touchante et drôle, une dramédie sur l’autisme convaincante |
Feud | 14/20 | 1 | Nouvelle série du stakhanvosite Ryan Murphy, Feud se concentre sur les grandes disputes qui ont marqué la culture pouplaire. Dans cette saison 1, le combat de reines épiques et jubilatoire entre Bette Davis et Joan Crawford, divinement interprétés par l’icône Murphyenne Jessica Lange et Susan Sarandon. Savoureux. |
Future Man | 14/20 | 2 | Une sorte de retour dans le futur, geek, trash et déjanté. A pleurer de rire. (Même si la saison 2, moins axée sur le voyage dans le temps, accroche moins) |
Good Behavior | 14/20 | 2 | Il faut un peu de temps pour s’attacher au personnage de Lenny (Michelle Dockery, en contre-emploi total avec son rôle de lady Mary dans Downton), mais une fois que c’est fait, on se prend vraiment au jeu. |
Homecoming | 14/20 | 1 | Thriller austère mais intriguant, aux airs hitchkockiens, il prend son temps mais finit par convaincre. |
House of Cards | 14/20 | 5 | Première série Netflix d’envergure, House Of Cards commençait fort dans le cynisme et se plaçait parmi les meilleurs séries politiques avant de logiquement faiblir par manque d’enjeu (un fois qu’on a le pouvoir). La dernière saison sans Kevin Spacey (par la force des choses) mais menée par Robin Wright (ce que, avouons le, on attendait depuis longtemps) Malheureusement HoC termine sa campagne boiteux et fourbu, exténué. Difficile d’en vouloir à un show ayant du se réinventer en urgence après l’affaire Spacey et affronter une réalité plus folle que son scénario. Mais quel dommage pour le perso de Claire Underwood ) |
Insecure | 14/20 | 3 | Série courte et fun sur le quotidien et la diversité de la communautré afro-américaine aux USA. Moins revendicative que Dear White People mais pas moins pertinente. |
Irresponsable | 14/20 | 2 | Excellente surprise française. Sébastien Chassagne est parfait en ado attardé de 30 ans qui se découvre père d’un gamin de 16 ans. Savoureux |
Kidding | 14/20 | 1 | C’est bien du Gondry, mais d’une noirceur et d’une mélancolie qu’on ne lui connaissait pas. Carrey est un immense clown triste. |
Mindhunter | 14/20 | 1 | Fincher de retour à la tête d’une série après HoC. Mais cette fois, il reste derrière la caméra tout du long. C’est costaud fascinant, effrayant. Plus coté Zodiac que Seven; |
Nurse Jacky | 14/20 | 7 | Un vrai bonheur de retrouver Edie Falco, la Mme Soprano de la série culte. Format court, très plaisant, même si le personnage égoïste et auto-destructeur de Jackie peut parfois agacer |
Penny Dreadful | 14/20 | 3 | Assez inégal dans ses arcs narratif, c’est visuelement très réussi dans la reconstitution d’une angleterre victorienne où se croisent les grandes figures de la littérature fantastique anglaise (frankenstein, dorian gray, le loup garou de londres…) |
Sense 8 | 14/20 | 2 | Un concentré de ce que peuvent faire les sœurs Wachowski, c’est plein de vie, intense, bienveillant, provovateur…. Une série sur la tolérance avant même d’être un thriller accrocheur mais un peu confus. |
Stranger Things | 14/20 | 2 | Pas aussi emballé que par la saison 1, mais la deux, plus terrifiante, confirme un univers retro assumé et des persos attachants |
The Bold type | 14/20 | 2 | Léger, fun, girly mais pas si superficiel lorsqu’il s’agit de défendre ses positions féministes. |
The Looming tower | 14/20 | 1 | Eloquent. Comment le conflit ouvert entre la CIA et le FBI a empêché de prévenir le 11/09/01. C’est parfois un peu austère et technique, mais le final est à la hauteur du sujet. Grand rôle pour Tahar Rahim |
The Tunnel | 14/20 | 3 | La sécheresse des séries britanniques, des enquêtes prenantes, des season final choquants et le couple Clémence Poesy /Stephen Dillane aussi mal assorti que parfaitement complémentaire |
Versailles | 14/20 | 3 | Série faussement historique, mais capitalisant sur le personnage bigger than life qu’est Louis XIV, Versailles finit par convaincre pour peu qu’on admette que les personnages parlent anglais et qu’on est dans la pure fiction |
Search Party | 13/20 | 2 | Format court (20′ par épisode), intello-bobo mais très rigolo, surtout sur la saison 1 qui tient bien son sujet. La 2 est un peu plus hystérique mais se laisse bien regarder, allant un peu plus vers la noirceur |
Bodyguard | 13/20 | 1 | Série politico-policière habile, jonglant entre terrorisme et corruption, très efficace dans son pan action. On retrouve avec plaisir le Robb Stark de Game of throne. |
Chewing Gum | 13/20 | 2 | Comédie osée et revigorante sur l’Angleterre prolétaire à l’humour très très british. |
Fargo | 13/20 | 3 | Saison 1 jubilatoire / saison 2 sympa mais un peu redondante / saison 3 laborieuse et concept qui s’épuise, car basé sur le même canevas chaque fois. |
Guyane | 13/20 | 2 | Création Originale Canal ambitieuse, apre, violente, avec de personnages très bien construitset qui capitalise sur les décors magnifique qu’offre la Guyane |
Les Grands | 13/20 | 2 | A l’image d’Irresponsable, une très bonne série française sur les années lycée et les affres de l’adolescence. |
Les revenants | 13/20 | 2 | Une première saison saisissante, intriguante, fascinante. Mais que s’est il passé? Deux ans et demi plus tard, la saison 2 n’apporte aucune réponse et ennuie. La plus grosse déception sérielle. |
Love | 13/20 | 3 | Comme son nom l’indique. Etrange couple, étrange série, avec l’esprit d’Appatow |
Missions | 13/20 | 1 | Série SF maline, qui avec peu de budget réussi à créer l’illusion de la conquête de Mars, suspense en plus. |
Santa Clarita Diet | 13/20 | 2 | Déconnage très réussie sur une mère de famille qui se transforme en zombie après avoir… l’alchime entre Drew Barrymore et Timothy Olyphant joue beaucoup dans le rythme de la série |
The Good Place | 13/20 | 2 | Une comédie fantastique réussie qui enchaine les twists, drôle et toujours surprenante |
The Night of | 13/20 | 1 | Un one shot un peu bancal mais efficace, qui permet surtout au talent de Riz Ahmed d’éclater au grand jour. |
Working Girl | 13/20 | 4 | Frénétique, épuisant, mais souvent joussif. Cœurs sur Nathalie. |
Légion | 12/20 | 2 | J’ai presque tenu jusqu’à la fin de la saison 2… La mise en scène est dingue, le scénar est dingue, mais si la saison 1 jouait sur une dynamique, la saison 2 explore encore plus le psychisme et le psychedelisme jusqu’à nous perdre. Mais l’unvivers reste fou. |
Suits | 12/20 | 6 | Plongée au cœur des grands cabinets d’avocats new-yorkais. Technique et souvent drôle, portée par des personnages forts, la série se perd cepedant dans des intrigues mineures au fil des saisons. |
Trust | 12/20 | 1 | Long, beaucoup trop long. Et un déséquilibre flagrant sur la qualité des épisodes. On voit que Boyle ne les a pas tous réalisés |
Unbreakable Kimmy Schmidt | 12/20 | 4 | Une première saison hilarante, rafraichissante et inventive, la découverte d’un acteur génial, Tituss Burgess, mais un concept qui survit difficilement au temps. On continue à suivre sans déplaisir, mais sans passion. La conclusion est satisfaissante, sans plus |
Designated Survivor | 11/20 | 2 | Plaisir coupable |
Nox | 11/20 | 1 | Polar mineur qui vaut surtout pour la présence de Nathalie Baye. |
Scandal | 11/20 | 7 | Pourquoi je suivais déjà? Ah oui, c’était bien deux saisons avant de tourner au grand n’importe quoi. |
Scream | 11/20 | 2 | Vrai plaisir coupable également. La saison 1 n’était pas si mal. |
The Good Doctor | 11/20 | 2 | Série médicale limitée mais agréable à suivre |
Wayward Pine | 11/20 | 2 | Interessant, mais Matt Dillon, c’est pas possible. Rarement vu un acteur aussi à côté de son rôle dans une série. Saison 2 (sans Matt Dillon) bien plus sympa. Mais tout ça reste bien anecdotique |
Here and Now | 10/20 | 1 | Drama familial flirtant avec le surnaturel. Un rare raté pour HBO. |
Madhunter | 10/20 | 1 | Un sous Mindhunter flingué par le charisme d’huitre de Sam W. Le fait divers est par ailleurs intéressant sans plus. |
Orange is the new black | 10/20 | 6 | Une première saison remarquable, qui réussissait l’exploit de jongler avec une vingtaine de personnnages principaux. Les backstories en flashback étaient toutes passionnantes. Une lente et douloureuse baisse d’intérêt jusqu’à un poli ennui. |
The Rain | 09/20 | 1 | Série typique basée sur son seul concept mais qui ne sait pas trop comment s’en servir. Ça tourne en rond et se termine en eau de boudin |
Casa del papel | 08/20 | 2 | Un principe intéressant gâché par une volonté de faire durer artificiellement le récit. Résultat on s’ennuie ferme et on a rarement vu des personnages de séries aussi idiots. Il n’y aura pas de saison 3 pour moi |
Daredevil (et autres Marvel’s Netflix) | 08/20 | On s’en fout en fait (même si la saison 2 de Daredevil était intéressante) | |
Plan cœur | 07/20 | 1 | Trop datée et mal jouée pour être pertinente |
Vingt cinq | 05/20 | 1 | Plantage total de #OCSSignature. Sexiste, homophobe, vision petit bourgeois totalement obsolète de la jeunesse… Une des rares déceptions de la part de OCS |